Les articles de ce mois
- A quoi Jens Weidmann est-il utile?
- « Hâte-toi lentement », la vitesse à Paris prend un nouveau départ.
- La machine à cocktail nouvel outil pour la santé publique
- Faut-il laisser les entreprises fixer les prix ?
- scripta manent
... Chef de la Banque centrale d’Allemagne. Des affinités françaises. Cela ne suffit pas à dire qu’il est utile. Il faut creuser plus profond !
Le Chantre de la Nouvelle Allemagne
Jens Weidmann est d’abord et avant tout le produit d’une Allemagne totalement décomplexée au double sens où « maintenant, ça suffit, on ne veut plus dire pardon » et où, « aujourd’hui, on est les plus forts, tant pis si cela tombe mal pour les autres ! »
On en voudra, non pas pour preuve mais pour signe, cette déclaration en forme d’aveu : dans un entretien accordé mi-juin au Monde, il explique « qu'être pour la croissance, c'est comme être
partisan de la paix dans le monde". Qu’un Allemand, citoyen d’un pays qui a déclenché 3 guerres européennes en moins de cent ans et causé plusieurs millions de morts déclare tout placidement que
la recherche de la paix fait partie des espérances les plus banales de l’humanité, laisse rêveur...
Pour en savoir plus sur l'utilité (ou l'inutilité) de Jens Weidmann il faut lire se rendre sur Huffington Post.
On raconte que le dessinateur Utamaro fut menotté pendant cinquante jours pour avoir créé des estampes représentant la femme et les concubines d’un illustre japonais nommé Hideyoshi, un des célèbres Premiers ministres de l’histoire japonaise. (Johann Protais et Eloi Rousseau dans 100 chefs d’œuvre d’Hokusai).
Est-ce une blague ou un rêve, ou une de ces fantaisies nippones qu’on hésite à croire ? Une histoire à la Myasaki où les choses laides sont sympathiques et où les démons des êtres aimables.
Imaginez que les condamnations pour atteinte à la vie privée se traduisent par cette simple sanction. Des menottes qui maintiennent les mains du voleur de photo bien éloignées l’une de l’autre. Des sanctions temporaires, on le devine bien, allant de un mois à un an ! (Au-delà on est dans l’horreur et la perversion, on ne veut plus révéler, on veut blesser et même tuer, il faut revenir aux condamnations classiques). Imaginez-donc que les photographes indélicats soient mis hors d’état d’user de leurs instruments préférés.
Belle leçon ? Leurs photos n’ont-elles pas été volées, arrachées, cambriolées après de longues traques, après avoir stipendié concierges, gardes du corps, après avoir soudoyé amis, parents et connaissances ? Leçon universelle ? Ces photos, prises dans des conditions détestables, n’offrent-elles pas un miroir à la société que nous érigeons années après années.
Lier les mains d’un peintre pour le punir d’être allé trop loin ? Les Japonais étaient vraiment des monstres.
Allons ! La photo est heureusement le fait de vrais artistes et de gens sérieux, Ainsi de Keld Helmer Pedersen,
d’Alix Cléo Roubaud,
http://www.pascalordonneau.com/2015/01/08/alix-cléo-roubaud-à-la-bnf/
parmi les dernières chroniques,
et mérite qu’on y réfléchisse un peu tout en rendant aux appareils photo toute leur liberté.
http://www.pascalordonneau.com/soliloques-et-monologues/soliloques-sur-la-photo/appareil-en-liberté/
Bonnes lectures,
Un extrait: lire l'article dans les Echos.fr
Déflation, inflation, reflation, désinflation, à ce compte on n’est pas loin de la célèbre tirade jetée par une ministre dynamique et politique à la figure de son Président : « hausse des prix, hausse des prix, est ce que j’ai une gueule de hausse des prix !».
La révérence qu’on doit aux hommes, et par-dessus tout aux femmes, politiques interdit pareille image et si les uns et les autres paraissent se contredire dans le domaine économique, spécialement le domaine de l’inflation ou de la déflation, il faut leur concéder qu’ils ne sont pas les seuls et, qu’à l’heure actuelle, on ne sait pas bien qui a tout faux.
Reprenons au début. La déflation point.
Ce qui ne veut évidemment pas dire : « de déflation point ». En fait, le risque de baisse des prix est là partout, rampant, comme suintant des pores d’une économie malade. Pas un mois qu’on n’annonce que les prix n’augmentent plus. Pas une semaine où la BCE ne s’interroge sur la déflation qui semble venir, sans être là encore mais semblant arriver pour bientôt. Faut-il lui fixer un objectif d’inflation s’interrogent gravement les commentateurs ? N’a-t-on pas été imprévoyant en ne lui demandant qu’une seule chose : protéger l’Europe, et donc le monde, contre l’inflation ; sévir contre le trop de monnaie que les banques produisent dans leur optimisme débridé ou leur passion hystérique pour la spéculation. N’aurait-on pas dû penser qu’un jour viendrait peut-être où la monnaie, pas rare, circulerait si peu que les prix en viendraient à flancher et que la Banque Centrale Européenne devrait agir ? Les banques ne produisent plus de monnaie parce qu’elles ne consentent plus de crédit. Elles ne consentent plus de crédit parce qu’elles ne savent pas à quel saint se vouer ou plus exactement à quel ordre croire.
Pendant que les Allemands inventent la voiture sans conducteur, pendant que les Américains et les Japonais se lancent dans les voitures « 500 km à l’heure », les Français inventent la circulation lente.
Et ils ont raison les Français. La science et la sagesse sont avec eux. Les expériences menées sur ce point à Paris sont parlantes et probantes. La vitesse sur le périphérique est passée de 80 à 70 Km à l’heure. On a pu observer sur le terrain l’efficacité d’une mesure administrative et surtout les paradoxes qui sont attachés à toutes les décisions humaines.
Le stress de la vitesse au volant aura sûrement diminué et le comportement des conducteurs se sera adouci? Faux, archi-faux : le nombre d’infractions a triplé.
D'évidence, une réduction de la vitesse se traduit par une baisse générale des moyennes de circulation. Faux, archi-faux : la vitesse moyenne des véhicules a augmenté de 18% entre 2013 et 2014 !
On pourrait alors penser que puisque la vitesse moyenne a augmenté, les accidents ont suivi. Faux, archi-faux : ils ont diminué de 15,5%. Dans ces conditions, les accidents auront été bénins ? Faux, archi-faux, le nombre de morts a doublé (mais les blessés ont été beaucoup moins nombreux).
Qu’ont fait du temps gagné (15%) les usagers du périphérique? Il semblerait qu’ils aient allongé leurs stations-café et augmenté leur consommation de p’tit jus.
Le résultat de cette courageuse décision se voit dans un rééquilibrage des finances publiques : moins de blessés graves est synonyme de moins de dépenses, plus de contraventions a pour effet, plus de recettes. La hausse de la consommation de pt’its blancs et de pt’its noirs a provoqué une hausse des emplois par centaines chez les cabaretiers et cafetiers et provoqué une réduction du chômage. Les taxes engrangées sur la consommation et les bénéfices des points de vente se sont envolés. Les coûts de la Sécurité sociale et de l’Anpe se sont effondrés.
Faites-le compte. Transposez au niveau national. Vous serez impressionnés par les conséquences macro-économiques.
L’expérience devrait aller plus loin. Passer de 70 à 50 dans un premier temps. Et puis, plus tard… mais ça c’est une autre histoire.
Pour que vous approfondissiez vos connaissances en statistiques appliquées à l’économie, je vais mettre à votre disposition quelques citations tirées de «Freak economics» et de «Superfreakeconomics». Ce qui va bientôt être nommé «le paradoxe du périf» y trouve des confirmations stupéfiantes… aux Etats-Unis.
Enfin, une réaction organisée et méthodique contre l’alcoolisation de nos sociétés. On a envie de se réjouir. On aura raison. On applaudira des deux mains à l’idée de mettre la technologie, l’informatique et le principe des machines transferts au service de cette belle ambition : désalcooliser la société, rendre nos concitoyens plus sobres. On aurait aimé que ce mouvement européen portât ses fruits sur toute la planète et particulièrement sur le sol du pays le plus riche du monde : les Etats-Unis. Hélas, entre l’Europe et les enjeux de civilisation qui la taraudent et l’Amérique du Nord ou le seul enjeu est celui du « fric », du « plus de fric » et du « encore plus de fric » la fracture est profonde. La technologie européenne s’est mise au service de l’humanité, on verra en fin de cet exposé que la technologie américaine reste collée au service du Grand Capital.
Mais, foin de paroles et de comparaisons éthiques et morales ; il faut maintenant passer aux faits, aux objectifs et peut-être anticiper les résultats.
Une machine à fabriquer automatiquement les cocktails
Il y a peu, une communication sur une nouvelle prouesse technologique a permis de découvrir un robot à fabriquer des cocktails. Nous ne sommes jamais en retard d’une information. Aussi, nous sommes-nous attachés à rassembler au plus vite toutes informations utiles à nos lecteurs. A première vue, la machine paraît docile. Vous lui demandez un « Bloody Mary », elle ne vous injecte pas du Whisky ou de la Tequila dans le mélange ; vous lui demandez un truc compliqué avec quatre ingrédients liquides, elle les injecte dans l’ordre prévu. Comme il s’agit d’un prototype, nous n’avons pas pu voir en action la fonction « shaker ».
Outre la capacité de ladite à mélanger à bon escient suivant les commandes qui lui sont faites, nous avons été frappé par sa lenteur. Nous avons pensé qu’il s’agissait là de l’effet prototype de l’appareil. Faux ! C’est justement là que se trouve l’innovation ! La Machine est lente. Elle est voulue lente.
Cette machine serait une belle invention venant de l'Est. On retiendra pourtant l’abus consistant à attribuer la paternité intellectuelle d’une pareille machine aux Allemands ou autres gens du nord de l’Europe : les machines à composer des sensations olfactives et gustatives ont été conçues par Boris Vian, poète français de la deuxième moitié du XXème siècle. Nous n’insisterons pas lourdement ni ne lancerons un débat vain car les enjeux sont sérieux et nous parlent de l’Homme dans son intégrité physique et morale: sous couleur d’automatiser la production de saveurs alcoolisées, cette machine à faire lentement des cocktails a pour objectif premier de lutter contre le Binge drinking. Elle instaure une nouvelle pratique de la boisson alcoolisée : le Slow drinking!
Principe: le binge est fondé sur la rapidité. Le slow (ou langsam en allemand) est fondé sur la lenteur. Le consommateur qui commande une boisson alcoolisée à la machine doit attendre qu'elle ait terminé son boulot de machine lente. Plus la boisson commandée est alcoolisée, moins vite va la machine. Au fond, elle anticipe le résultat de l'alcool sur l'alcoolique quand celui-ci donne dans le « Binge drinking ». Elle est lente comme le type complètement défoncé est lent, poisseux, mentalement vide et physiquement rempli de trucs dont il ira assez vite asperger les trottoirs et les gens qui ne se seront pas écartés suffisamment vite.
La machine à cocktail est une machine à ralentir le temps
La machine inventée par je ne sais qui est donc conçue pour ralentir l’écoulement du temps. On peut penser que c’est une machine à faire des cocktails, en réalité c’est une machine pour donner au temps un nouveau rythme et surtout un rythme modulaire, comme si plusieurs temps étaient imaginables dans un même espace, celui du bar, et disponibles à la demande des consommateurs. Bien entendu, les consommateurs n’en seront pas immédiatement conscients ! Mais revenons sur cette production d’attente.
La machine à cocktail est une machine à ralentir le temps et, par voie de conséquence, la consommation et, nécessairement, les quantités absorbées. Se bourrer totalement avec cette machine prendra des heures. La Machine lente à Cocktail prend son temps pour faire le cocktail, et comme il en faut plusieurs pour être pété, on mettra un temps fou pour arriver à absorber les quantités excessives requises. Il y a là de la prévention : les inventeurs ont voulu ralentir le processus d’enivrement massif, voire le bloquer.
Cette machine sera un jour un moyen de faire précéder les deuxième, puis troisième, puis quatrième drinks, d’un temps d’assimilation : grâce à elle on ne parviendrait pas à se bourrer, la lenteur de la confection du cocktail serait calée sur le temps nécessaire à l'assimilation du Drink. Le risque d’overdose alcoolique disparaîtrait et avec lui les souffrances du buveur. Une vraie objection vis-à-vis de cette machine et de ses soi-disant effets salutaires ne doit pas être méconsidérée: c’est d’un ennui profond que le buveur pourrait souffrir ! Attendre longtemps d’être servi plongerait le consommateur dans un profond sommeil ou une envie irrépressible de lire Heidegger. Nous savons que ce sujet est au cœur de version « .2 » et « .3 »
On sait que des versions sophistiquées de la machine sont dans les cartons. Cette dernière serait capable de s’adapter aux caractéristiques du buveur, passé alcoolique, environnement familial, tendances psychiatriques lourdes, capacité de résistance physique, risques de type SRAS, VHIS, SOS, SNPQR etc., rythme cardiaque, taille, poids, antécédents familiaux, diabète aigu ou léger... Les dramatiques conséquences de l'ingestion inconsidérée d'alcool seraient réduites notablement avec pour effet une diminution des coûts y attachés : maladie, mais aussi coups et blessures, massacres de parents (prétendument dans un état second) et, le pire, injures au force de l’ordre dans l’exercice de leurs missions.
Un enjeu économique et éthique considérable
Dans ce contexte, la Sécurité Sociale en France étudie très sérieusement le remboursement de la consommation de type "Slow drinking". Les mécanismes financiers et médicaux sont bien maîtrisés par les organismes sociaux. Pour bénéficier d’une prise en charge à 100%, il suffirait d’introduire sa carte « vitale » dans une fente placée sur l’appareil ou sur un périphérique quelconque destinés au paiement. La carte porterait les indications utiles extraites du dossier médical unique centralisé et connecté à la base de données « achat d’alcool » mise en place par le Ministère de l’intérieur avec la coopération de la grande distribution et de la fédération des petits détaillants de boissons alcoolisées. Non seulement la vitesse de l’appareil serait alors inversement proportionnelle à la quantité d’alcool prévisible dans la formulation du cocktail commandé par le consommateur, mais elle se trouverait modulée selon les informations recueillies comme précisé plus haut et traitées suivant un algorithme ad hoc.
Les "Bars" à "happy hours" pourraient économiquement en souffrir, « moins d'alcool consommé, moins de sous encaissés », ce qui réduirait la propension à investir dans ces machines et surtout dans les plus sophistiquées, celles dont on vient de faire la description, c’est-à-dire celles qui seraient les plus utiles à la protection de la Santé publique. Ce serait un comble mais ce serait la conséquence, fatale autant que mécanique, de la loi des rendements décroissants selon la théorie marginaliste dite « Walraso-Parétienne ». On pourrait aussi imaginer qu’un marché occulte, noir, se développe avec des machines trafiquées, dont la vitesse serait l’exact reflet du désir malsain de retrouver les joies délétères du Binge-drinking. Au lieu de la belle et saine lenteur des premières, elles afficheraient des capacités record de fabrication de cocktail. On pourrait même penser à des compétitions entre machines, où la couronne de laurier serait donnée à celle qui parvient à envoyer dans des comas éthyliques le maximum de gens dans le minimum de temps.
On a les machines de ses valeurs !
Le mal est partout et on ne pourra jamais éradiquer totalement les comportements déviants. Cependant une réponse "marketing" est prête: puisque les machines lentes conduisent à ralentir la consommation, c’est-à-dire les quantités absorbées. Puisque pour obtenir l’effet désiré c’est-à-dire une effroyable biture, le consommateur devra accepter de prendre son temps, les consommateurs ne seraient plus facturés suivant les quantités consommées mais en fonction du temps passé à consommer....Les Bars à Cocktails, les Bars à Happy Hours, tous les bars où trop de gens avaient pris la mauvaise habitude de se biturer quitteront le statut douteux de marchands de défonce au litre pour celui beaucoup plus valorisant de fournisseurs de services facturés au temps passé.
Le mal est partout, surtout celui qui vient des « mauvais exemples ».
Ce dont on veut parler est de l’exemple odieux qui nous est proposé par les Etats-Unis. Dans un univers où la « greed » est partout, dans les salles de marché comme dans les villages les plus reculés du Colorado, voilà que loin de proposer des machines qui ralentissent le vice, ont été au contraire mises au point des machines qui simplifient la vie du consommateur en perdition et lui permettent d’aller le plus vite possible vers les paradis artificiel. «Fumer du cannabis n'est pas plus dangereux que de boire» aurait dit le Président Obama. Si ce n’est pas plus dangereux, alors c’est peut-être aussi dangereux, c’est-à-dire affreusement. En Europe, on en conclut à une machine destinée à freiner l’addiction, aux Etats-Unis, ou seul le fric compte on met en place des distributeurs automatiques de marijuana. Vous avez bien lu. Des distributeurs automatiques de Marijuana.
Il n’est pas dit qu’elle serait remboursée par la sécurité sociale locale, mais, le fait que le paiement de la dope, puisse se dérouler via des cartes de crédit laisse à penser que les versions américaines de la carte vitale pourraient bien être acceptées. Elles vérifieraient non pas seulement le compte en banque de l’acheteur mais son état de santé et en fonction de ce dernier accepteraient la vente de Marijuana en quantité croissante selon le caractère satisfaisant d’un check-up hyper rapide. La machine serait connectée aux centres médicaux et pourrait ainsi consulter le dossier médical de l’intéressé. Une note moyenne : une dose. Une note un peu plus que moyenne : deux doses. Une note de bonne qualité : quatre doses etc . Il est aisé de remarquer qu’on est en plein dans une logique d’offre. La vente doit être stimulée et facilitée. On ne brime pas l’acheteur. On ne cherche pas à le contrarier. On ne ralentit pas l’expression et la satisfaction de ses désirs. Au contraire, on tire parti de sa bonne santé pour l’inviter à consommer davantage et de façon diversifiée : ainsi les machines à distribuer de la marijuana, pourront aussi la proposer sous forme de bonbons, de thé et pourquoi pas de chocolat. On notera l’hypocrisie du système qui s’abstient, pour des motifs obscurs, d’offrir une option Bière ou Vodka, Whisky, Bourbon, Tequila. Peu importe, le plus frappant ici est le mode exactement inverse de fonctionnement des machines, les unes conçues pour éviter d’exposer le consommateur à trop d’alcools en trop peu de temps, les autres ayant le but contraire, exposer le consommateur à beaucoup de marijuana pendant un temps très long.
On a la civilisation qu’on mérite.
"Combien d’oreilles faut-il à un seul homme
Avant qu’il entende les autres pleurer ?
Oui, combien de morts avant qu’il comprenne
Que le nombre est déjà trop grand….."
(Blowing in the wind. Bob Dylan)
Jean Cabut, dit "Cabu", Stéphane Charbonnier, dit "Charb", Philippe Honoré, dit "Honoré", Bernard Verlhac, dit « Tignous », Georges Wolinski, dit "Wolinski",Bernard Maris, « Oncle Bernard », Elsa Cayat, Mustapha Ourrad, Michel Renaud, Frédéric Boisseau, Franck Brinsolaro, Ahmed Merabet,
Et des anonymes par milliers pour les mêmes déraisons.
"Je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu'un terroriste".
(Mémoires d’outre-tombe. Chateaubriand).
Dessine-moi un con: il faut continuer.
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