Monet, les Nymphéas
Musée de l’Orangerie
Encore !!!! Je vous entends. Vous allez dire que je me répète. Eh bien, la répétition étant le secret de la pédagogie. Je me répèterai. Monnet est un des plus grands peintres non pas du XIXème siècle. Non pas du XXème siècle mais de tous les siècles. Il est aussi important que Phidias, Michel Ange…. Et c’est tout. Monnet, comme les vrais créateurs a fait venir à la vue et à l’esprit des idées, des visions et des représentations qui n’existaient pas. Et puis, le monde de la création artistique a changé. Du tout au tout.
Conclusion : allez revoir les nymphéas au musée de l’Orangerie. Faites-vous un devoir d’y retourner au moins une fois par trimestre. Et, by the way, lisez les chroniques que j’ai écrites sur le sujet.
Il faut se rendre sur les Chroniques d'exposition et de galeries.
Galerie Gad Collection
Il faut aller au 4 rue du pont Louis-Philippe, Gad Edery y expose très souvent de très belles photos et, actuellement, persiste et signe avec une exposition d’une artiste étonnante par sa recherche du ton juste, de la juste représentation des choses dans un domaine bien particulier : les fleurs. Pas systématiquement les fleurs triomphantes mais, plutôt les fleurs en leurs fins de vie de fleurs, ce qu’on nomme la fanaison. Pourtant l’exposition montre moins les couleurs qui s’affadissent que ce que les fleurs ont à dire en transparence noire et blanc.
Renoir et Magritte
Musée de l’Orangerie
Curieux thème d’exposition. Comment peut-on penser à comparer ces deux géants de la peinture ? N’ont-ils pas tout qui les oppose ? L’un caressant la toile pour offrir à un regard caressant le plaisir de la lumière et de ses douceurs. L’autre agressant la toile pour offrir à un regard surpris ce que la lumière et ses douceurs couvent de turpitudes et de troubles arrière-pensées.
Et pourtant, ça marche. Il faut aller voir et se laisser porter par la comparaison. Une précaution cependant : pour des raisons qui peuvent tenir à la difficulté de présenter de nombreuses œuvres de Renoir, celles de Magritte l’emportent en nombre et en qualité. Ce n’est pas très important. Il est surtout instructif de considérer ce que Magritte a voulu faire, reprenant en partie, la leçon de couleurs et de pinceau donnée par Renoir. L’intérêt de l’exposition est double : assister à la rencontre des deux peintres aux ambitions opposées. Mais aussi, découvrir l’ambition de Magritte. Avant qu’il ait été « statufié » en Magritte.
Sur peinture, peinture sur photo, photos qui se tiennent sous la peinture ? Les images que propose Sandrine Paumelle sont à la fois très simples et montrent personnages et arbres avec la précision d’un photographe, quoiqu’un peu floutée, ou adoucie, comme si gommer les détails devait les rapprocher des regardeurs et les apprivoiser. Et puis, il y a des plongées dans le mystérieux, l’incertain où le trouble des crépuscules le dispute avec l’obscurité des broussailles et des forêts.
Il vous suffira de tendre la main, vers les librairies du net,
Babelio, Amazon, Fnac, books.google, BOD librairie et l'éditeur: Arnaud Franel Editions
Panthéon au Carré est disponible aux éditions de la Route de la Soie.
Promotion est disponible chez Numeriklivre et dans toutes les librairies "digitales"
Au Pays de l'Eau et des Dieux est disponible chez Jacques Flament Editeur ainsi que
La Désillusion, le retour de l'Empire allemand, le Bunker et "Survivre dans un monde de Cons".
"La bataille mondiale des matières premières", "le crédit à moyen et long terme" et "Les multinationales contre les Etats" sont épuisés.
S'inscrire
chaque semaine "La" newsletter (tous les lundis)
et "Humeur" (tous les jeudis)
Il vous suffit de transmettre vos coordonnées "Mel" à l'adresse suivante
pordonneau@gmail.com