134. Pécuchet prit une courbature à l’élagage de la charmille, et vomit après son dîner ce qui l’effraya beaucoup. Puis observant qu’il avait le tient un peu jaune, suspecta une maladie de foie, se demandait « ai-je des douleurs ? Et finit par en avoir.

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137. Il (bouvard) déplora son ignorance et même regrettait de n’avoir pas été, dans sa jeunesse, à l’Ecole polytechnique.

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140. ils s’étonnaient que les poissons eussent des nageoires, les oiseaux des ailes, les semences une enveloppe…

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216. Ainsi, l’opinion des gens de goût est trompeuse et le jugement de la foule inconcevable

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218.Littré leur porta le coup de grâce en affirmant que jamais il n’y eut d’orthographe positive et qu’il ne saurait y en avoir.

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232. Le curé démontra à M. de Faverges que l’heure n’était pas venue. Il fallait donner à la République e temps de s’user.

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234.La Réaction commençait

On croyait aux purées d’ananas de Louis Blanc, au d’or de Flocon, aux orgies royales de Ledru-Rollin – et comme la province prétend connaitre tout ce qui se passe à Paris, les bourgeois de Chavignolles ne doutaient pas de ces inventions, et admettaient les rumeurs les plus absurdes.

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242.Les six millions de voix refroidirent Pécuchet à l’encontre du peuple : - et bouvard et lui étudièrent la question du suffrage universel.

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243. Bouvard et Pécuchet furent dégoûtés du petit nombre comme du grand. La plèbe en somme, valait l’aristocratie.

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260. Des jours tristes commencèrent.

Ils n’étudiaient plus dans la peur de déceptions.

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260. Donc ils vivaient dans cet ennui de la campagne si lourd quand le ciel blanc écrase de sa monotonie un cœur sans espoir.

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265. La première règle, c’est de ne pas croire à ce qu’elles disent. J’en ai connu, qui sous l’apparence de saintes, étaient de véritables messalines.

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271. l’enfer sous un jupon, le paradis dans un baiser.

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273. Satisfaits de leur régime, ils voulurent s’améliorer le tempérament par de la gymnastique.

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292. Comment devenir magicien ? Cette idée leur parut folle d’abord, mais elle revint, les tourmenta et ils y cédèrent, tout en affectant d’en rire.

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304. – « observons ! » « Et pendant quinze jours, après le déjeuner habituellement, ils cherchaient dans leur conscience au hasard- espérant y faire de grandes découvertes et n’en firent aucune -ce qui les étonna beaucoup.

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306. Les faits de la sensibilité morale, au contraire, ne doivent rien au corps ? – « qu’y a-t-il de commun entre le plaisir d’Archimède trouvant les lois de la pesanteur et la volupté immonde d’Apicius dévorant une hure de sanglier.

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308. Pécuchet réfléchit, se croisa les bras. – « Mais nous allons tomber dans l’abîme effrayant du scepticisme »

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311…. Le Saint Pierre, vue de profil, étalait au plafond, la silhouette de son nez, pareille à un monstrueux cor de chasse.

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316. Bouvard ne croyait même plus à la matière.

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329. Un soir, il (Pécuchet) rentra la figure empreinte d’une joie sérieuse, et lâchant le mot, dit qu’il venait de se converser.

Alors ils discutèrent de l’importance de la confession

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342. On lui (Pécuchet) avait répété que le sacrement le transformerait : durant plusieurs jours, il guetta des floraisons dans sa conscience. Il était toujours le même ; et un étonnement douloureux le saisit.

Comment! La chair de Dieu se mêle à notre chair- et elle n’y cause rien.

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343. les réponses (à Pécuchet) de M. Jeufroy étaient simples : - « ne vous tourmentez pas ! A vouloir tout approfondir, on court sur une pente dangereuse.

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344. « Adorons sans comprendre » dit le curé. « Soit ! » dit Bouvard

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353. « et quand même « objecta le prêtre, en secouant de colère son parapluie « on ne peut les appeler des martyrs. Il n’y en a pas en dehors de l’Eglise »

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381. il eût été plus pratique de commencer par le village, ensuite l’arrondissement, le département, la province. Mais Chavignolles n’ayant point d’annales, il fallait bien s’en tenir à l’Histoire universelle.

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395. Le style épistolaire ne peut s’apprendre ; car il appartient exclusivement aux femmes. 

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