On ne sculpte pas sur du bois pourri

 

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I.11      … une harmonie pure, cultivée pour elle-même, et qui ne serait plus réglée par les rites, ne saurait convenir

 

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I.15      ….il y a mieux : un pauvre qui serait joyeux, un riche qui serait poli.

 

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I.16      Le maître dit : » Ce n’est pas un malheur d’être méconnu des hommes, mais c’est un malheur de les méconnaître

 

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II.6      La piété filiale : « la seule inquiétude qu’un bon fils donne jamais à ses partent est elle de sa santé »

 

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II.11     « Qui peut extraire une vérité neuve d’un savoir ancien a qualité pour enseigner »

 

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II.15    « Etudier sans réfléchir est vain, mais réfléchir sans étudier est dangereux »

 

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II.22    «J ne vois pas ce qu’on pourrait faire d’un homme qui ne tient pas parole : comment utiliser un char sans timon, ou une voiture sans brancards ? »

 

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III.21   « Ce qui est dit est dit, ce qui est fait est fait, inutile d’y revenir ! »

 

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IV.3     « Seul un être pleinement humain sait bien aimer et sait bien haïr »

 

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IV.12   « Qui prend l’opportunité pour guide de ses actions, provoquera bien des récriminations »

 

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V.12     « ….c’est un homme de désir, comment pourrait-il passer pour ferme ? »

 

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V.18     « Zang sunchen a bâti une maison pour sa tortue géante, avec une voûte imitant des rochers, et des plantes peintes sur les piliers. Où donc a-t-il la tête ? »

 

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V.27    « Il n’y a rien à faire, je n’ai jamais rencontré un homme qui fut capable de découvrir ses propres fautes ou d’instruire son propre procès. »

 

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VI.12   « ….qui est à bout de forces, peut toujours s’arrêter à mi-chemin. Mais toi, tu as renoncé d’avance »

 

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VI.13   « Assume noblement ta condition de clerc ; ne sois pas un clerc vulgaire. »

 

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VI.17   « Nul ne songerait à sortir autrement que par la porte. Pourquoi les gens cherchent-ils à marcher en dehors de la Voie ? »

 

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VI.25   « Un vase carré qui serait rond : curieuse façon d’être un vase carré »

 

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VII.10  Quand le maître avait pleuré, il ne chantait pas dans la même journée.

 

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VII.31  « J’ai de la chance, quand je commets une faute, il y a toujours quelqu’un pour s’en apercevoir »

 

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VIII.2  « Une politesse qui n’est pas tempérée par le rituel est fastidieuse ; une prudence qui n’est pas tempérée par le rituel est peureuse ; une bravoure qui n’est pas tempérée par la rituel est violente ; une franchise qui n’est pas tempérée par le rituel est blessante ».

 

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VIII.17            « Etudier, c’est comme courir après ce qui nous échappe, tout en craignant de perdre ce qu’on a déjà ».

 

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IX.1     « Le maître parlait rarement de profit. Il célébrait la volonté céleste et l’humanité ».

 

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IX.29   « Celui qui sait ne doute pas ; celui qui est bon n’est pas inquiet ; celui qui est brave n’a pas peur ».

 

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IX.31   La fleur de cerisier

Vole et vire

Ce n’est pas que je ne pense pas à toi,

Mais tu habites si loin !

Le maître dit : « s’il pensait vraiment à elle, il n’y aurait pas de distance qui compte ».

  

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X.12     Si la natte est de travers, il ne s’assied pas.

 

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XI.4     Le maître dit : « Yan Hui ne m’était d’aucune aide : il approuvait tout ce que je disais ».

 

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XI.6     Nangong Kuo répétait sans cesse les vers :

Un défaut dans un jade blanc

S’efface au polissage ;

Un mot placé mal à propos

Ne peut se méprendre.

Confucius lui donna sa nièce en mariage.

 

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XII.3   Ce qu’on pratique difficilement comment en parlerait-on facilement ?

 

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XII.9   Si les gens sont à court, comment le souverain pourrait-il être à court ? Si les gens sont à court, comment le souverain pourrait-il avoir en suffisance ?

 

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XII.19  "La vertu du gentilhomme est vent, vertu du vulgaire est herbe : quand le vent lui passe dessus, l’herbe doit se coucher »

 

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XIII.3  « …. Quand les noms ne sont pas corrects, le langage est sans objet. Quand le langage est sans objet, les affaires ne peuvent être menées à bien. Quand les Affaires ne peuvent être menées à bien, les rites et la musique dépérissent….pour cette raison, tout ce que l’honnête homme conçoit, il doit pouvoir le dire, et ce qu’il dit, il doit pouvoir le faire. En ce qui concerne son langage, l’honnête homme ne laisse rien au hasard. »

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XIII.9  …. « Une fois que les gens sont nombreux, que reste-t-il encore à faire ? » le Maître dit : « enrichissez-les ». L’autre dit : « et une fois qu’ils sont riches, que reste-t-il encore à faire ? - Eduquez-les ".

 

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XIII.23     « L’honnête homme cultive l’harmonie mais pas la conformité. L’homme de peu cultive la conformité, mais pas l’harmonie ».

  

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XIII.30     « Envoyer à la guerre un peu peuple qu’on n’a pas instruit, c’est l’envoyer à sa perte ».

  

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XIV.20  « Parole légèrement donnée est difficilement tenue » .

 

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XV.13  « Il n’y a pas à sortir de là : je n’ai jamais vu quelqu’un qui aimât autant la vertu que le sexe.

 

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XV.21  « L’honnête homme est exigeant envers soi, l’homme vulgaire est exigeant envers autrui.

  

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XV.35 « J’en ai vu qui périssaient pour s’être jetés dans l’eau ou le feu ; je n’en ai jamais vu qui périssaient pour s’être jetés dans la vertu suprême ».

  

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