Dégage ! N’est-il pas étrange et peut-être nouveau, ce monde qui voit déferler des hordes de gamins sur des places de centre-ville pour réclamer le départ des séniors ?
Et si « dégage » était devenu le slogan de ralliement du monde nouveau ?
Cela avait commencé avec Castro. L’homme à la puissante carrure, transformé en ombre claudiquante, bon pour le pyjama du quatrième âge. Qu’on pense à Mugabe que d’aucuns, anciens colonialistes et jeunes locaux ambitieux voudraient peut-être bien vouloir « dégager ». Et le coréen ? « Zy va ! Dégage le Kim ! ». Pour le moment, il tient le coup, le Kim ! Et la vieille reine…Pour avoir aimé ce charmant film sur son papa de Roi qui voulait discourir, je ne veux pas qu’on dise à M’am…
Car c’est devenu une sorte de leitmotiv ce « dégage » ! N’est-ce pas Angela Merkel qui s’est demandé, à très haute voix pour qu’on l’entende bien, si dégager les débiteurs pauvres ne serait pas la bonne idée pour régler la question des dettes souveraines. Elle n’a pas dit « dégage » comme çà. Elle ne l’a pas dit en allemand, « Erraus » (que l’usage germanique a transformé en Raus et dont la manie française de tout traduire a fait « ouste »). Elle a dit simplement que quand un pauvre fait des bêtises, on doit l’expulser du groupe. Elle est de son temps, la Chancelière, et parle comme on sait dire les choses de la Catalogne à la Finlande en passant par la Flandre. Dégagez-moi des pauvres ! On ne veut plus payer pour eux !
Là aussi, le truc c’est de dire « dégage ». C’est un signe des temps ! Avant, on faisait la révolution pour sortir les riches, les nantis, les puissants. Aujourd’hui on met les pauvres à la porte ! Marie-Antoinette aurait pu dire « dégage » au lieu de se forcer à dire quelque chose d’intelligent sur la brioche et les moyens de répondre aux aspirations gastronomiques des affamés. Serait-ce un nouveau TOC qui vient de s’en prendre à notre monde : les italiens du Nord, aux Italiens du Sud : « dégage !» ; les Flamands, aux Wallons : « dégage ! » ?
Et si, « dégage » était une expression naturelle ?
Et si loin de se « propager » dans « la sphère » nationale, comme disent les journalistes, et maintenant dans toutes les sphères y compris à l’étranger, on voulait bien admettre que « dégage » est là depuis longtemps dans nos esprits : logos de la terminaison des rapports humains quelque fût leur durée.
Dans le monde rural, celui d’il y a bien longtemps, l’expression « dégage les vieux » n’était pas usitée. On ne disait pas non plus « Senior » et « junior ». On disait les choses simplement avec des accents rocailleux. On disait « le père », on disait « la mère ». On disait « mettez grand-père dans le cantou », l’idée officielle étant de le réchauffer. A la fin, comme le grand-père était sec comme un fagot d’il y a un an, la vieille formule « nous ne sommes que cendres… » trouvait une illustration. On ne disait pas « dégage » parce qu’on ne connaissait pas le mot. Mais le résultat ? C’était bien le même ! Le grand-père se volatilisait !
Revenons à notre temps. Pour ne prendre que les choses et les faits qui sont à notre portée, il parait bien que « dégage » ne peut être revendiqué par les seuls tunisiens et encore moins l’expression « dégage, le vieux ! » (Injonction de partir qui vise une personne âgée) dont le sens et la portée paraissent dépourvus d’ambigüités.
Dans le champ social, il n’y a aucun doute. Les vieux sont dégagés. Pourtant, parlant des pays développés, on voit bien que les Tunisiens, les Egyptiens, les Libyens etc. etc. manquent un peu de développement quelque part. Dans leurs révolutions « Dégage », ils s’en prennent à des vieux-vieux, des gens qui ont largement dépassé les 75 ans.... Dans les pays développés, « dégager les vieux » ne concerne pas exactement les mêmes vieux ! Attention ! Il ne s’agit pas d’inférer qu’il y aurait des vieux plus ou moins estimables et qu’il y aurait des vieux africains différents des vieux européens. Ce serait le pire de tous les racismes celui qui ferait la différence entre les peuples et qui la doublerait de la différence entre les âges !
Les pays dits, autrefois, « développés » ont une double particularité. Les vieux naissent de plus en plus tôt et sont vieux de plus en plus longtemps. Ceci se cumulant avec cela ! Les Vieux, c'est-à-dire les « Seniors », ça commencent à 50 ans. Entre un vieux à la française qu’on « dégage » à cinquante ans et un vieux dirigeant qu’on « dégage » comme Ben Ali en Tunisie, il y a un quart de siècle de différence. Indéniablement, en France, mais en général dans les pays développés, la conception du « Vieux » est beaucoup plus riche et dynamique que dans les « autres pays ». Si les tunisiens s’étaient soucié de prendre leurs idées en France, cela fait un quart de siècle qu’ils auraient été politiquement satisfaits. A moins, il y a 25 ans, d’avoir choisi pour nouveau leader un senior de cinquante ans !
Et si, « dégage » était de tous temps et de partout.
Pour mettre la population française à l’abri de certaines intrusions foraines, il y a « dégage les Roms ». J’entends d’ici, hurler à l’amalgame, qu’il faut rester au point de départ, qui était bon : le « dégager les vieux » qui permet d’aérer la société. Pourtant, remise dans son contexte, cette affaire des Roms est bien dans la lignée de « dégage le pauvre ! » dont on a montré plus haut la prospérité. En France, la formule a des implications inattendues. En matière d’urbanisme par exemple : l’implosion de barres de HLM dans les cités sensibles n’est-elle pas une déclinaison monumentale du slogan « dégage, les pauvres !».
Il ne serait pas juste de ne pas mentionner le domaine privé. J’entends des protestations, des « franchement, c’est pousser le bouchon un peu loin! ». Les expressions subliminales traversent les domaines privés de générations en générations. Et un jour, elles arrivent à la lumière comme les résurgences dans le Vaucluse, elles s’installent d’abord dans la « sphère familiale », puis elles passent dans le domaine public, de plus en plus rapidement car, on le sait bien, le domaine privé l’est de moins en moins. Donc, « dégage » vaut aussi, et peut-être d’abord, dans le domaine familial. A des degrés divers. On n’insistera pas mais le fait est que maris et femmes n’hésitent pas à s’y entre-dégager à tour de bras. Et puis, il est des cas… mais ça, c’est un peu dur. Il vaut mieux se contenter d’y penser.
Et si on n’arrivait pas à les dégager ?
Si on regarde de près les affaires d’Afghanistan, il paraît évident que beaucoup de gens veulent « dégager » les forces de l’OTAN. Or, c’est de notoriété publique que les forces de l’Alliance sont là pour aider et pour « dégager » les Talibans. Elles ne font que passer. Ni plus, ni moins. Un petit coup de main, parce que c’est juste qu’elles sont là.
C’est comme l’Irlande. Voilà un pays qui doit à ses voisins d’avoir quitté le statut de « pauvre » traditionnel chez les Irlandais et pour tous ceux qui n’étaient ni Angles, ni Saxons, ni a fortiori, Normands. Ils sont même devenus parmi les plus riches en PNB par tête. Les Européens se sont fendus d’un « dégage » la pauvreté. En retour les Irlandais balançaient un « dégage » aux Européens : non aux referendums, non au traité, non et non, et à la fin qu’est-ce que c’est que ces histoires de dettes ? Qu’on cesse de nous importuner ! « Dégage Barroso ! ».
« Dégage » est donc une vraie valeur ancienne. Mais on voit aussi que son maniement n’est pas toujours si simple. Il peut arriver que dans une même enceinte « dégage » soit énoncé en même temps par des groupes différents. Les polémologues diront alors qu’ils sont antagonistes.
Par ailleurs, il ne faut pas confondre «intimation » et « exorcisme ». Dire « Dégage » ne peut pas se comprendre comme « Il t’écrasera la tête… » (gn 3.15). « Dégage » n’est pas une parole efficace au sens magique. A le croire, à tort, on se réserve des lendemains douloureux. En Syrie, l’injonction « Dégage Assad » n’est pas suffisante par elle-même. En Lybie….
Et si « dégage » contenait un message d’espoir ?
Il y a donc dans « dégage » des marges d’incertitude. Il importe peu. L’essentiel est de montrer que le mot désigne maintenant une pratique, que celle-ci, toujours présente dans nos esprits, depuis le « dégage connard » du père de famille au volant jusqu’au « dégagez les vieux » a pris maintenant possession de la sphère « publique »…pour reprendre les expressions « tarte à la crème » des observateurs des grands mouvements sociaux.
Sommes-nous à l’aube de nouvelles valeurs sociales?
S’agit-il de réagir dans ce monde qui prétendrait être fini et n’offrirait plus d’échappatoire. « Dégage ! » N’est-il pas alors une injonction bénigne en ce sens que, justement, il y a une échappatoire implicite. Ce serait cela le vrai progrès. On dirait « dégage », parce qu’il y a un ailleurs où l’intimé peut se retirer.
Avant on massacrait.
Robespierre aurait peut-être tant aimé se contenter d’un : « dégage Danton ! »
"L'histoire universelle est le progrès dans la conscience de la liberté." nous dit Hegel, par delà les Siécles. La Catalogne a voté. Les résultats laissent imaginer que le cheminement vers l’indépendance ne serait plus ni escarpé, ni long. Indépendance ? Allons ! Indépendance ! Comme vous y allez ! « Confédération » ne serait-il pas le mot le plus approprié ? Et peut-être avant ce mot pourquoi ne pas essayer le mot « fédération ». L’idée c’est de trouver un nouvel endroit où écrire le mot « liberté ». Maintenant, les Catalans disent « çà suffit » ! On ne veut plus être sous la coupe des Espagnols.
Et si on revendiquait un peu plus fort, nous rendrait-on le Pausilippe ? Pourrions-nous nous saisir à nouveau de la mer d'Italie ? Et si nous étions un peu plus raisonnables ? Ne nous promènerions-nous pas de Cumes à Sorrente par le golfe ou par les monts ? Ne flânerions-nous pas dans Pompéi en compagnie de Lucilius, disputant sur les nouvelles tendances de la décoration d’intérieur. N’abuse-t-on pas du rouge ces derniers temps ? Ne conviendrait- il pas de s’en tenir à ces vues et à ces petites scènes qui, au milieu, d’une paroi, viennent l’aérer et l’ouvrir ? Ne chercherions-nous pas dans l’ombre des ruelles, l’ombre de Pline à l’écoute des mouvements de la terre et du bruit de ses entrailles ?
Par un curieux effet de magie, la Chine semble avoir disparu des écrans de télévision et des téléscripteurs. Par un étrange mécanisme de dissipation des nuages monétaires asiatiques, la Chine, dont le yuan-renminbi était « le » problème d’il y a maintenant deux ans, d’il y a encore un an, ne parait plus obscurcir le ciel économique mondial. Le soleil luit donc sur le monde et l’empire reste sagement au milieu.
Les cartes sont conçues pour montrer des lieux et proposer des chemins. Bien sûr, on montre les lieux qu’on connaît. S’il n’y a rien sur la carte, ce n’est pas parce qu’il n’y a rien. C’est signe peut-être qu’on ne sait pas ce qu’il peut y avoir. C’est une invitation à aller voir s’il y a quelque chose. On utilise aussi les cartes pour localiser des choses, des animaux ou des gens. Evidemment, on ne peut pas associer quelque chose à un lieu qu’on ne connaît pas ! De même qu’on ne peut pas associer rien à un lieu qu’on connaît.
Autrefois, il y a bien longtemps, on avait Ben-Hur, on avait les chars de course, et les manipulations éhontées de l’horrible Messala. On avait la foule qui hurlait son soutien ou sa haine. On avait des sabres accrochés aux essieux des chars de course pour couper les jarrets des chevaux. On avait de la tricherie partout, tout le temps, et à la fin, des tricheurs qui payaient leurs forfaits de leurs vies.
La prédisposition innée de toute-puissance nourrit toujours les idéologues. C’est même l’une des règles de base des histrions « à la française », utiliser les pouvoirs qui leur sont conférés pour imposer le pire. Pas faute de l’avoir écrit, pronostiqué, dénoncé par avance : avec Nicoléon (il faut comprendre le Président Sarkosy) nous savions à quoi nous attendre.
Les idées toutes faites nous tuent plus facilement que les pensées nouvelles, en matière intellectuelle et spirituelle, la prise de risque doit toujours être recherchée. La marche, n’est-elle pas un déséquilibre organisé ? Celui qui veut avancer ne doit-il pas se risquer à se casser la figure ? A l’opposé celui qui refuse cette prise de risque se transforme en statue.
Ce prologue pour traiter d’une question qui fera toujours mal : les prisons, leur implantation et leur gestion.
Le vent du large ne souffle pas dans la grand voile de l'hôtel Burj Dubai, les grues rivées au sol par des tonnes de béton ne peuvent pas même s'envoler. Elles se contentent de manœuvrer leurs longs nez au-dessus des immeubles en voie d’achèvement et picorent ici ou là une panière de tringles d’acier ou des sacs de ciments mal empaquetés semant la chaux qu’ils contiennent. Le temps des tours est-il fini ? Courbe-toi fier Sicambre ! L’homme, inventeur orgueilleux de tous les mondes modernes, conquérant de la verticalité, serait-il condamné à ramper ?
La carte du monde, version chinoise a toujours montré l’Europe de l’Atlantique à l’Oural et de l’Ecosse à l’Italie comme le petit appendice d’une masse gigantesque: l’Asie, et dominant l’Asie, la Chine
Il y a quelques temps à Pékin et un peu moins clairement à Shanghai quelques milliers de personnes eurent le bizarre sentiment qu’un petit « clic » avait claqué vers midi (heures locales). On comprit quelques heures plus tard que ce « clic » était l’écho d’une catastrophe assourdi par la distance. L’Europe, de l’Atlantique à L’Oural, venait de se détacher de la masse continentale asiatique et s’en écartait à une vitesse étonnamment rapide! La direction prise par cette ile nouvelle et gigantesque paraissait être le Nord, le plus au nord, au nord de l’Islande, vers le Groenland. Peu de temps après, la faille de San Andrea, libérait la Californie du territoire des Etats unis et la laissait prendre le large, cap sur la côte chinoise.
Si proche du viol des foules, si insouciant du viol des femmes. Dommages collatéraux. Attila, fléau de dieu, violences sanctifiées et civilisations ruinées. Drames du pré-humanisme, quand Dieu savait reconnaître les siens. "Nous ne jugerons pas le roi nous le tuerons" hurlait Danton et aussi : « ces prêtres, ces nobles ne sont point coupables, mais il faut qu'ils meurent… parce qu’ils gènent… »
La lutte contre le tabagisme a été presque gagnée. En France, en tout cas! Les fumeurs sont évacués des lieux publics .Bientôt ils le seront des lieux privés. Enfin protégés contre-eux-mêmes ! Quoique…. S’il ne s’agissait que de protéger les fumeurs contre eux-mêmes, il n’y aurait pas matière à écrire. Tout ou à peu prés l’a été sur ce thème. Le principe sous-jacent des lois est qu’il faut réduire la liberté d’aller et de venir du fumeur consommateur de tabac afin de retarder sa consommation de médicaments. En revanche on ne porte pas atteinte à sa liberté de consommation. Il demeure cet homo oeconomicus, libre et impavide, essentiel à la théorie économique classique.
Promenons nous dans les bois….les erreurs de jugement commencent toujours par une euphorie, un moment de bonheur, un plaisir arraché aux méchants et aux malins. Promenons nous …
La chanson sait bien que ce moment là ne durera pas. Le loup est là, dès le commencement de la promenade. Dans une heure, dans un jour, dans dix ans, il faudra payer pour cet instant de bonheur
Payer ? Pourquoi payer ? Et que payer ?
Il n’y a pas si longtemps, pour qu’on ne se repose pas sur quelques moments calmes, j’avais esquissé que la tempête pouvait être suivie d’un ouragan, que le calme apparent du moment n’annonçait rien d’un calme futur et que le monde, et surtout les pays occidentaux, feraient bien de tendre l’oreille pour écouter la rumeur.
Personne ne tient à ce que la crise demeure en l’état, personne de désire se morfondre dans une déréliction morose et personne ne souhaite des lendemains qui feront hurler. Il est d’ailleurs heureux de relever que les contempteurs des sociétés modernes se découvrent ici en minorité et que les appels à la croisade inversée tombent à plat.
C’est par centaines de milliards de dollars que les actifs mondiaux ont perdu de la valeur. En une journée on a vu des portefeuilles réduits à zéro, et les droits de souscription vendus la veille deux euros, ne valaient plus rien le lendemain…les richesses ne vaudraient que l’ombre d’une fumée ?
Qui veut faire péter l’Euro ? En tout cas, les menaces planent. Et si l’Allemagne décidait de quitter l’Euro ? On a même prêté cette intention aux Français dans leur partie de bras de fer avec l’Allemagne pour éviter que la Grèce parte en fumée. Quitter l’Euro, cette institution emblématique de la construction de l’Europe ? Et pourquoi ne pas dissoudre l’Union Européenne et dans un grand moment de remise à niveau, brûler ce qu’on a adoré ?
« Le suprême bon ton était d'être américain à la ville, Anglais à la cour, Prussien à l'armée; d'être tout excepté Français ». Deux cents plus tard, rien n’a changé. Allons ! « On ne peut penser plus haut que ce qu’on est », disait un prussien. Le mode de pensée « à la française » commence par un mépris profond pour ce qui est « français » et termine par un hymne à l’Empire américain à défaut des Soviétiques d’antan et en attendant que cela fasse chic d’être intégriste « wahhabite ». Étonnez-vous ensuite que dans les stades hexagonaux, le drapeau français soit sifflé. Étonnez-vous que les nouveaux français ne voient franchement pas ce que Français veut dire si ce n’est « vieux, ringard, pas comme les américains» !
La Lettonie perd chaque jour des milliers de jeunes et se plaint du pillage de ses étudiants. Angleterre, Danemark, Suède et Norvège y vont faire leurs emplettes. Trop petite pour les ambitieux ?
À défaut de rente pétrolière ou de compétences industrielles à exploiter, l’Islande avait choisi le Poker de la financiarisation et de la richesse qui se crée sur du vent. Pourquoi les Islandais seraient-ils restés à l’écart ? Les progrès considérables dans les communications, le rôle grandissant d’Internet, l’abolition des frontières financières et monétaires, la libre circulation des capitaux enfin, permettaient de rêver d’une bonne pioche. Plusieurs Etats confettis avaient montré le chemin de « l’industrie » de la finance, le Luxembourg, le Liechtenstein, les Iles Vierges…
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