Ici aussi, (voir Karolina Orzelek) la couleur, sur fonds d'images réelles. Du réalisme coloré? le retour des Fauves? Monet et ses leçons qui nous reviennent, preuve qu'un grand artiste ne meurt jamais ou, preuve que dans l'art, lorsque l'œuvre est grande, peu importe l'auteur. 

Jiri Hauschka est peut-être encore trop jeune pour que son œuvre soit déjà montée au pinacle!!! il n'en est pas moins vrai que ce triomphe de la lumière et de l'image rendent bien compte d'une œuvre qui annonce beaucoup pour les années à venir.

Situations quotidiennes qui sont sources d'émerveillement, mais aussi de mystères. 

Ombres qui se promènent, solitaires dans de grands parcs. 

Forêt dont les arbres portent des palettes riches en couleurs et en contrastes lumineux. 

Le rêve est-il partout? 

En tout cas, dans l'œuvre du tchèque, il ne cesse de magnifier le réel. Les personnages paraissent en sortir ou, au contraire, s'y promener, entourés d'arbres gigantesques, foulant des sables rouges, jouant de cercles de couleurs sur une eau où le ciel se reflète, jouant de cercles, ballons lancés dans un ciel bleu qui ressemblent à l'onde d'un lac. 

A suivre de près.