Cela n'a pas le charme de la charge de la cavalerie impériale à Eylau, ni la beauté tragique de la charge de la brigade légère, parfois on dira que ce n'est pas si loin de Don quichotte fonçant sur les moulins à vent...

Il y aurait un peu de tout ça dans ce déferlement de calicots de toutes les couleurs, ces professions de foi qui s'envolent et ces envolées lyriques propres à réveiller le citoyen le plus avachi.  

Ils sont beaux? Les portraits que livrent ici mes amis Martenchon et Mélinez pourraient en faire douter: peut-être faut-il gratter le vernis pour que le bois dont les candidats sont faits apparaisse dans toutes ses fibres et son feuillage. 

On a ici travaillé à retirer le vernis superflu, à vous, Citoyens électeurs, d'aller vers l'essentiel. 

Il faut suivre ce lien pour se retrouver face à face avec les douze candidats.