Première partie d'une réflexion refondatrice sur la fiscalité et la taxation des Riches.
Il en irait de la richesse comme de la pollution? Ou bien on l’éradique en la taxant sévèrement ; mais taxer n’est pas une idée nouvelle et fait partie de ces « habitus operandi » qui remontent au néolithique lorsque l’Homme fatigué de nomadiser et de prélever une dîme sur les troupeaux qui passaient décida de se poser, de créer culture et civilisation, c’est-à-dire des sociétés de l’impôt sur les personnes. On sait depuis des lustres que la taxation rencontre des limites. La théorie les a énoncées ainsi : « trop d’impôt tue l’impôt ». Si nos sociétés veulent continuer sur le chemin qui mène au bonheur parfait, il leur faut rompre, quoiqu’il en coûte avec les traditions les plus anciennes.
C’est pourquoi, une deuxième branche de l’alternative vient d’être ouverte qui dit : "Ou bien on l’incite à s’autogérer, évitant de la pousser vers des extrémités funestes et mettant enfin la Richesse au service de la pauvreté". Cette branche appartient à la même famille que les "droits à polluer" lancés sous la forme du marché du carbone. Pour lire cette première partie suivre ce lien.
Il vous suffira de tendre la main, vers les librairies du net,
Babelio, Amazon, Fnac, books.google, BOD librairie et l'éditeur: Arnaud Franel Editions
Panthéon au Carré est disponible aux éditions de la Route de la Soie.
Promotion est disponible chez Numeriklivre et dans toutes les librairies "digitales"
Au Pays de l'Eau et des Dieux est disponible chez Jacques Flament Editeur ainsi que
La Désillusion, le retour de l'Empire allemand, le Bunker et "Survivre dans un monde de Cons".
"La bataille mondiale des matières premières", "le crédit à moyen et long terme" et "Les multinationales contre les Etats" sont épuisés.
S'inscrire
chaque semaine "La" newsletter (tous les lundis)
et "Humeur" (tous les jeudis)
Il vous suffit de transmettre vos coordonnées "Mel" à l'adresse suivante
pordonneau@gmail.com
Écrire commentaire