Le plus simple est d’aller droit à la conclusion : c’est une des plus belles expositions et une des plus fortes que j’ai jamais vue. Voilà. On pourrait dire qu’ayant dit cela, il n’y a plus rien à dire ! On rembobine et on recommence, en commençant par le commencement...
... On devrait évoquer un voyage initiatique, une plongée vers un « autre monde », une démarche qui part de l’extérieur et mène vers l’intérieur, des corps, des lieux et des temps.
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Anonyme (vendredi, 31 mai 2013 10:35)
Photographe, une activité qui lui permet de vivre à la hauteur de ses désirs
Pour Antoine d’Agata, la photographie est l’art le plus accessible, efficace pour interagir avec le monde qui l’entoure, donner une forme à ses convictions intimes, s’exprimer tout en puisant cette parole dans ses propres gestes, il y a beaucoup de choses qui l’on poussé à vouloir choisir cette belle profession «c’est ce rapport entre l’art et la vie qui m’intéresse. La photographie reste le langage le plus adéquat pour remettre en question, pousser encore plus loin ce questionnement de ce que l’on est et ce que l’on fait…»
Quand on demande à ce photographe de talent, quel est le projet dont il est le plus fier, il répond en riant « je ne suis fier de rien car je suis dans une tentative permanente de vivre à la hauteur de mes idées, d’explorer le monde, de prendre des risques, de les renouveler tous les jours pour découvrir, comprendre, vivre, exister et sentir ».
Le métier de photographe lui permet de n’avoir aucune barrière. Il peut explorer les couches sociales, partir à la rencontre de groupes, de communautés et d’individus qui vivent retranchés dans une obscurité sociale, volontaire ou pas.