Susan Paulsen a aimé Wilmot, Arkansas. Elle y avait de la famille. Pas des familles comme dans « autant en emporte le vent ». Pas de ces maisons qui font penser à des châteaux. Pas un monde d’élégance un peu française, un peu surannée. Des gens simples. Des épiciers en gros ou en petit. Qui ont continué leur business jusqu’à nous. Ces gens simples vivaient et vivent simplement mais pas comme des barbares ou des rustres. A Wilmot on pouvait prendre des cours de peinture, des cours de danse et des cours d’un peu n’importe quoi…
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Louis-Paul (vendredi, 21 décembre 2012 14:59)
Très bon article cependant voici un avis.
Ce n'est pas l'accumulation de prises de vue par Susan Paulsen qui fait l'exception de son travail.
Pour son travail, l'accumulation est la présentation du nombre, une justification non nécessaire, un moyen (faible) pour rendre accessible et faire comprendre sa démarche.
Ce n'est pas non plus le fait du lieu ou des gens.
En fait, c'est tout simplement le regard qu'elle pose et propose qui détermine son oeuvre.
Ce regard est simple, immédiat, naturel, vrai.
Elle raconte une vérité parmi les vérités.
Surtout elle dit sa vérité en restant toujours honnête avec elle-même.
Pour un peintre, après des milliers de gestes, c'est le dernier coup de pinceau qui détermine l'oeuvre et le peintre, il doit savoir quand s'arrêter.
Pour Susan Paulsen, elle appuie une seule fois sur le déclencheur pour chacune de ses photos, mais chacune de ses photos a été regardée avec la même vérité.
lp