Newsletter 38 bis

Chères toutes, chers tous,

En ces jours d’affliction où l’on voit que plus rien ne résiste à la fureur des agences de notations,

où on entend ces mots terribles de Marguerite Duras résonner en se multipliant « détruire, disent-elles ! »,

où les colonnes des temples sont secouées par un trio aussi glauque que les Erinyes échevelées, où les réputations ne tiennent plus à un fil, les ciseaux des Parques ayant reçu licence de couper, de détacher, de dégrader….

En ces jours terribles où la nation des nations, le Président des Présidents, les Etats-Unis en d’autres termes, sont menacés par Fitch et Moody’s et Standard and Poors.

En ces jours tragiques où seuls font sens les chants de la Grèce Antique et les souffrances de la Grèce Moderne ….

Il faut réfléchir.

Aussi ai-je pensé à deux petits textes, créés pour la circonstance.

Pour contribuer à la réflexion.

Il faut d’abord comprendre la dette américaine. Je vous ai proposé une forme de recollection dans les Echos.fr :

Il faut aussi, dans les moments sombres, chercher la lumière à l’encontre des forces obscures. Peut-être est-il temps de prier ? J’ai rédigé une forme d’adjuration, parue dans Kritiks,

Bonne lecture.